mardi 27 mars 2012

pouf

paf

samedi 22 septembre 2007

Dji vou veu volti extract

Due to the crash down of my my hoster (go to hell)
I had to put the video here. A good way to try the blogger video system. This will be fixed in october on the main site.
Benoit

vendredi 21 septembre 2007

Selection Cinanima


http://www.cinanima.pt

Selection Göteborg

http://www.filmfestival.org

Selection Cinessonne

Selection DOK leipzig


http://www.dokfestival-leipzig.de

beau logo

Selection Nuits magiques


http://www.lesnuitsmagiques.fr/

Sélection

Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue

Selection Festival européen du film court de Brest

www.filmcourt.fr

Le site est down

Désolé les amis mais le site est fichu. L'hébergeur a mis la clé sous la porte sans laisser d'adresse et plus rien ne fonctionne. J'ai essayé de le rediriger vers un autre espace web. Apparemment je dois attendre 24h avant que cela ne prenne effet.

vendredi 31 août 2007

Selection Krok festival


Voilà un festival assez incroyable qui se mèle ave une longue croisière. Allez voir leur site pour suivre l'itinéraire.
Yalta
Sebastopol
Kherson
Kehovka (gate)
Zaporozhye
Zaporozhye (gate)
Dnipropetrovsk (bridge)
Dneprodzerzhinsk (gate)
Kremenchug (bridge)
Svetlovodsk (gate)
Cherkassy (bridge)
Kanev
Kanev (gate)
Kiev


http://www.krokfestival.com

Selection Animadrid


Il était temps de mettre en ligne quelques festivals pour lesquels "Dji vou veu volti" est sélectionné.

jeudi 21 juin 2007

mercredi 20 juin 2007

Annecy 2007

De retour en Belgique, je me rends compte que le festival à fait parler de lui et des belges qui y concouraient.
Voici quelques comptes rendus puisés sur la toile.



festival d'AnnecY 2007


Qu'elle est belge l'animation
Alain Lorfèvre
Mis en ligne le 09/06/2007
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Le Benelux est à l'honneur du festival d'Annecy, qui se tient du 11 au 16 juin.
Rétrospectives, expositions, longs et courts métrages en compétition.

Envoyé spécial à Annecy

Considéré comme le Cannes du film d'animation, le festival d'Annecy déroule cette année le tapis rouge au Benelux, invité d'honneur. Choix transnational a priori singulier : si l'on trouve des ponts - pour des raisons fiscales essentiellement - entre la Belgique et le Grand-Duché, les liens entre les créations des Pays-Bas et du Plat Pays sont minces. L'organisation de cette année Benelux le reflète, d'ailleurs : chaque pays a concocté son propre focus et même plus, puisque, découpage institutionnel oblige, Région flamande et Communauté Wallonie-Bruxelles ont leur propre sous-programme (et se retrouvent à payer la moitié de la fête : les Néerlandais, pas sots, ont imposé un découpage en quatre de la facture...). Chacun des invités présentera ainsi une compilation d'oeuvres réalisés les dix dernières années, qui sera complétée de deux séances communes - "Trésors de l'animation du Benelux" et "Benelux : l'animation du futur" - concoctées par Philippe Moins, cheville ouvrière du Festival Anima de Bruxelles.

Projets en pagaille

Mais pour la Belgique, cette reconnaissance coïncide avec une activité frénétique en matière d'animation, aboutissement de près d'un demi-siècle d'expérimentation et de productions en tout genre. Incarnation de cette excellence, Raoul Servais, gagnant du Palme d'or à Cannes en 1979, longtemps président de l'Association internationale du Film d'Animation, fondateur de la section animation au KASK de Gand (la première du genre), fera l'objet d'une rétrospective à Annecy. A son image, les qualités des animateurs sortis du KASK, de Sint-Lukas, de La Cambre ou de Saint-Luc ne sont plus à vanter. De nombreux professionnels belges travaillent à l'étranger, comme Kim Keukeleire, depuis plusieurs années aux Etats-Unis et en Angleterre, et qui sera dans l'un des jurys d'Annecy, ou Guyonne Leroy qui a fait office de chef animatrice sur "Max & Co", coproduction entre la Suisse, la France et la Belgique, en compétition dans la section long métrage du festival.

Mais l'heure est aux longs métrages, que l'on ose maintenant produire à domicile, attirant même des projets internationaux : "Panique au village" de Vincent Patar et Stéphane Aubier, "Macrâles" de Benoit Féroumont, "Brendan et le secret de Kells", projet irlandais partiellement réalisé en Belgique, "Bob et Bobette", production flamande qui sera en partie réalisée à Liège, "Peur(s) du noir" - film collectif d'initiative française dont une des séquences a été produite et réalisée à Bruxelles. L'auteur de bande dessinée liégeois José Parrondo a lui un projet d'après sa série "Papa raconte" avec le Français Lewis Trondheim - qui fait l'objet d'une exposition à Annecy. Alors que la 3D sera à l'honneur au Festival avec les avant-premières de "Shrek 3" et "Bienvenue chez les Robinsons", "Fly me to the Moon", premier film belge du genre réalisé sous l'égide de Ben Stassen, y sera dévoilé en première mondiale.

En compétition aussi

La présence belge se retrouvera encore dans les compétitions courts métrages. A chaque séance, d'abord, puisque le générique de cette édition a été cette année confiée à Vincent Patar et Stéphane Aubier - et à leur antihéros Coboy, Indien et Cheval. Dans la compétition courts métrages ensuite, où l'on retrouvera "Dji vou veu volti", film en images de synthèse de Benoit Féroumont, "Do it yourself" d'Eric Ledune, "Telerific Voodoo", de Paul Jadoul, "Met mijn kwantorslag" de Pieter Vanluffelen et "Bully Beef" de Wendy Morris. Histoire de préparer la relève.

Surfez sur Panique au village, le blog du tournage du film

http://paniqueauvillage.lalibreblogs.be/




« Dji vou vu volti », un « Shrek » wallon !
COUVREUR,DANIEL

samedi 16 juin 2007, 10:53

D ès 1945, les Belges ont essayé de faire sortir les héros des cases de bande dessinée. Claude Misonne a fabriqué des poupées animées de Tintin pour tourner un Crabe aux pinces d'or truqué de naïveté. Les studios Belvision des éditions du Lombard ont zoomé dans les cases Bob et Bobette et fait bouger les personnages avec des spaghettis ! Le résultat était raide et l'animation sommaire.

Belvision a persévéré avec des courts-métrages de Tintin découpés dans des silhouettes de papier, avant de faire appel à des spécialistes américains et de concurrencer Walt Disney en signant les longs-métrages mythiques d'Astérix, de Tintin, de Lucky Luke et des Schtroumpfs.

Soixante ans plus tard, cette page de l'animation industrielle exclusivement tournée vers les adaptations de BD en dessins animés appartient à l'histoire. Elle fait l'objet d'une remarquable exposition du Commissariat général aux relations internationales de la Communauté française à Annecy, la Mecque du cinéma d'animation.

A l'exception de DreamWall, une joint-venture entre la RTBF et Dupuis, qui doit bientôt produire à Charleroi des dessins animés de Cédric, de Léonard est un génie, et projette des séries de Nelson, de Game Over, des Nombrils ou du Petit Spirou, les auteurs de BD belges caressent désormais des rêves animés moins héroïques, plus bidouillés. Annecy voit en eux des pionniers modernes de l'absurdité de la vie d'une formidable inventivité plastique, à l'image de Stéphane Aubier de Verviers et Vincent Patar de Saint-Mard, les créateurs fêlés de Pic Pic André ou de Panique au village, qui ont créé le générique du Festival 2007.

L'illusion totale

Parmi ces jeunes stars montantes de l'animation belge, Benoît Feroumont a été sélectionné cette année pour le prix du meilleur court-métrage. Ce touche-à-tout né à Aye, se partage entre Wondertown, une série de BD monstrueuse, et Dji vou veu volti, le premier dessin animé ou Romeo fait la cour à Juliette en wallon. De quoi faire péter les plombs au sous-titreur et provoquer des rires dévastateurs !

« La BD, c'est le plaisir de travailler seul, de faire ce qu'on aime dans son coin, raconte Benoît Feroumont. Mais j'ai besoin du dessin animé pour voir du monde, me sentir vivre ! Le dessin animé, surtout en 3D, c'est le bonheur du réalisme, des jeux de lumière, de l'illusion totale. Mais c'est aussi un boulot d'organisation énorme et trois ans de travail pour démystifier la technique et parvenir à dominer l'expression des personnages. A côté des effets spectaculaires, je voulais des visages chaleureux... »

Pépite de nonsense, reprise en choeur par la salle, Dji vou veu volti a bluffé les festivaliers, sourds au patois liégeois et persuadés de reconnaître dans la langue du Romeo transi un ersatz syldave... Auparavant, Benoît Feroumont avait déjà participé au chef-d'oeuvre des Triplettes de Belleville. Il a collaboré aux séquences belges de Brendan and the book of Kells, un long-métrage à l'esthétique celtique dont la sortie est prévue en 2008. Et il peaufine le projet paroxystique d'un film animé sur les sorcières et les légendes de Wallonie, Les Macrâles. Un auteur à suivre, comme les BD des magazines Tintin et « Spirou avec lesquelles il a grandi.



15.06.2007
Panique à Annecy (II)


cd4d0cffa87ec56adc5accab9d58ef42.jpgLes animateurs belges ont toujours été bien accueillis au Festival international du film d'animation d'Annecy. Le Benelux étant hôte d'honneur de la trente et unième édition, l'édition de cette année prend des airs de fête. Ce fut notamment pour les anciens de l'Atelier d'animation de La Cambre – dont plusieurs se sont éparpillés un peu partout dans le monde de se retrouver. Le Luxembourgeois Claude Grosch, de retour dans son pays natal, repris dans la rétrospective Benelux, est ainsi présent avec le Franco-Canadien Luc Otter (les habitués du Festival du dessin animé de Bruxelles se souviennent de ses films d'étudiant) : les deux anciens condisciples développent actuellement un projet avec Samsa Films. On les a retrouvé un soir à la terrasse d'un café de la vieille villeoù convergeaient au fil de la soirée les « anciens » : Benoît et Christelle Féroumont (le premier a son dernier film « Dji vou veu volti » retenu en compétition (voir la bande annonce ici : http://www.djivouveuvolti.com/ ), il est également l'un des auteurs repris dans l'exposition « De la case à l'écran », sur les rapports entre bande dessinée et animation en Belgique), Philippe Capart (sur notre photo, aux côtés du camarad Patar. Philippe était également à l'honneur de l'expo « De la case à l'écran ») puis, enfin, Vincent Patar (avec sa femme Béa et leur petit garçon Victor) et Stéphane Aubier. Les conversations allaient bon train sur les projets respectifs, le parcours des autres anciens camarades ou les séances du jour, toujours observées d'un oeil avisé et analysées sans pitié.

Vincent (Patar - sur notre photo du haut, avec le réalisateur, auteur de BD et historien de l'animation Philippe Capart) nous a d'ailleurs confié que cela faisait six ans qu'il n'était plus venu. "La dernière fois, le pilote de "Panique au Village" était en compétition. On a d'ailleurs gagné le Grand Prix avec celui-ci." Et la toute première fois, tou-toute première fois (Vincent, discomaniaque, aime bien les vieilles chansons ringardes malgré des goûts très sûrs) ? "C'était en 85, je crois. On a longtemps eu notre période "camping"..." (Les étudiants en animation fauchés squattent les campings d'Annecy. Comme la pluie est souvent au rendez-vous, vous imaginez le plaisir...) "Maintenant, on ne vient plus que lorsqu'on est invité et, donc, logé royalement par le Festival !" (Je ne peux malheureusement pas retranscrire l'inénarrable rire de Vincent...).

af2f134eb9367c24e752d73dcb339afc.jpgEn dehors des « cambriens », les Belges présents étaient évidemment nombreux, au premier rang desquels Raoul Servais, doyen de la profession et fondateur de la section animation de l'Académie des Beaux-Arts de Gand – la première du genre en Belgique – qui fête cette année ses quarante ans. Inévitablement au coeur d'une exposition sur le Benelux Animé que le Conservatoire d'Art et d'Histoire d'Annecy organise jusqu'au mois de décembre, l'auteur de « Taxandria » est aussi à l'honneur d'une exposition dans une galerie d'art de la ville. (Nous l'avons surpris en conversation avec Doris Cleven, la co-directrice du Festival Anima de Bruxelles).

1a18e076f674e0b21d0ba9a66bb77e79.jpgPic Pic et André ont aussi animé les écrans de la soirée Benelux, qui s'est tenue le 13 au soir, au lieu dit La Plage. L'assemblée s'était alors complétée entre autres de William Henne (Atelier Zorobabel), Eric Blésin (qui vient de signer un nouveau court métrage, « Histoire à la gomme », et qui a oeuvré sur la série « Panique au Village »), Kim Keukeleire, Christine Polis et Guionne Leroy (toutes trois au générique du très beau « Max & Co », coproduction helvético-franco-anglo-belge) et la bande de L'Enclume, nouveau collectif d'animateurs issus de La Cambre (Jérémie Mazurek, Rémi Durin, Constantin Beine et Paul Jadoul, ce dernier étant dans la compétition 2007 avec son court « Telerific Voodoo » à découvrir absolument ici : http://www.enclume-animation.com/enclume.swf ). Et tout le monde a eu le plaisir de revoir Florence Henrart, expatriée en Espagne, et qui a profité de cette rétrospective pour retrouver ses anciens condisciples. Il y avait enfin la joyeuse équipe du Festival Anima (Philippe Moins, Doris Cleven, Françoise Cathala et Karin Vandenrydt – ces deux dernières n'étant pas les premières à rentrer à l'hôtel ;-)) ) entre quarante-douze visions de présélection en vue de leur édition 2008. Et bien sûr une forte délégation de la production de « Panique au Village » avec Philippe Kauffmann (pour La Parti Production – très stressé à la veille de donner en anglais une conférence sur le montage financier du film), Ben Tesseur, Steven De Beul, Pilar Torres Villodre (pour Beast Animation) et Marion Charrier, décoratrice sur « Panique » et également au générique de « Max & Co ». (A.Lo.)

L'album des Belges à Annecy 2007 ici : http://paniqueauvillage.lalibreblogs.be/album/panique_a_a...



http://www.flandersanimation.be

Dji vou veu volti wins in Brussels
The 3D computer animated short ‘Dji Vou Veu Volti’ by Benoit Feroumont has won ‘Le Prix de la Critique’ (the Critics’ Award) at the Brussels Short Film Festival 2007, where it was screened for the very first time. This 13 minute short is in the official selection for the Annecy Animation Film Festival.

Feroumont (°1969), who previously worked on Belleville Rendez-Vous (Sylvain Chomet) and made the trailer for Annecy 2003, calls Dji Vou Veu Volti ‘an animated light opera’. It tells the story of a troubadour that plays a love song for his beloved princess. Dji Vou Veu Volti is a sentence in Liège dialect, which literally means ‘I see you with pleasure’. In other words, it is a very galant way to say ‘I love you’, as the subtitles point out… over and over, until they have had enough…

Dji Vou Veu Volti is a co-production between Walking The Dog, La Parti Production and Monsieur Albert. The original music was made by Johan De Smet. Theatrical release is expected in Spring or Summer 2008.

http://www.djivouveuvolti.com




Le site officiel du Festival et du Marché international du film d'animation



BIENVENUE QUOTIDIENS EN LIGNE JEUDI 14
RENCONTRE AVEC BENOÎT FÉROUMONT
Réalisé avec le scénariste Fabien Wehlmann, Wondertown raconte les courtes aventures de quatre orphelins dans le Chicago des années 30, après la Grande Dépression. Si l'esthétique de la bande dessinée se rapproche davantage de Bzz, second court de Benoît Féroumont, que du court métrage en compétition Dji vou veu volti, on retrouve une vraie filiation. Rencontre.

Comment a été conçu Dji vou veu volti ?

Souvent, les courts métrages sont des photographies d'une situation donnée, et l'histoire n'est pas toujours construite de manière rigoureuse. Mon film n'est pas une blague, contrairement à ce que suggérait Serge (Bromberg) aux Rencontres du Bistro : j'avais la volonté de construire une vraie histoire avec un début, un développement et une fin. Je souhaitais traiter des relations amoureuses : comment un type super parvient-il ou non à séduire une femme, comment s'en sort un voyou...


Comment s'est fait le choix de la 3D ?

Pour moi, la 2D donne l'illusion de la vie, la 3D, l'illusion de la réalité. Il m'a fallu deux ans pour mettre la technique au point : le choix de la 3D a apporté au film la réalité dont le sujet avait besoin. Pour créer une histoire crédible, concrète, rien ne vaut la 3D : les animaux semblent en peluche, la caméra peut tourner autour, les effets de lumière sont multiples. L'illusion de la réalité est très forte !
Pour Dji vou veu volti, j'avais besoin de cet aspect réel, pour que le sous-titre puisse exister lui aussi. La 3D donne réellement au film une autre dimension...


Le son est quasi un personnage dans l'histoire...

La sonorisation du sous-titre s'est beaucoup posée lors de la réalisation de mon court métrage : nous n'avions aucune référence, il fallait complètement inventer l'univers sonore. La sonorité minérale a été obtenue en secouant des coquillages et du verre blanc sur le sol...
Et bien sûr, la voix compte énormément dans le film. Je souhaitais vraiment que le personnage soit naïf, sans aucune arrière-pensée. C'est mon père qui lui prête sa voix : il lui donne une réalité honnête, tellement loin de la caricature, que le personnage en devient même un peu chiant... mais pas détestable !







LES BREVES sur http://www.actuabd.com/


Benoît Feroumont (Wondertown) au Festival d’Annecy avec son second film
11 juin 2007

Le dessinateur de « Bienvenue à Wondertown » (Scénario de Fabien Vehlmann, éditions Dupuis), Benoît Feroumont, a réalisé son deuxième film d’animation.

Le titre de ce court métrage d’une durée de onze minutes, « Dji vou veu volti », est emprunté à une expression wallonne qui signifie littéralement : « Je vous vois volontiers », une manière policée de signifier à une femme qu’on l’aime. Cette opérette animée en images de synthèse, met en scène un jeune ménestrel qui tente de séduire une princesse…

Le film représente la Belgique, au Festival d’animation d’Annecy, qui se tient du 11 au 15 juin. Le réalisateur-dessinateur confie sur son blog son intention de réaliser une histoire courte, autour de cette ville, dans le journal de Spirou.

NA.

Découvrez le site du film
Lire la critique du film sur Cinergie.be



Pleins feux sur le Benelux au Festival d’Annecy
sur http://www.flandersimage.be/


À l’occasion du Festival international du film d’animation d’Annecy (11-16 juin 2007), les pays du Benelux présenteront un programme spécial composé de courts métrages flamands et d’extraits de longs métrages. D’autre part, le Fonds flamand de l’audiovisuel dévoilera son nouveau site web : www.flandersanimation.be.



Le programme d’animation de la Flandre met l’accent sur la dynamique des activités régionales dans le domaine de l’animation. Il offre une plate-forme à de jeunes talents prometteurs issus de Flandre et du reste du Benelux tels que Jonas Geirnaert, Wouter Sel, Hans Spilliaert, Reinout Swinnen, Eric Peeters, Jelle de Beule, etc.

Le Benelux occupe cette année une place substantielle au Festival d’Annecy avec six programmes distincts, chaque pays affichant son propre programme national et une section étant occupée conjointement par le Benelux.

Un déjeuner de rencontre de coproduction et un cocktail de bienvenue seront organisés au marché à l’intention des professionnels opérant au Benelux. Le 14 juin 2007 marquera en outre le lancement d’un nouveau site web, www.flandersanimation.be, qui constituera un outil pratique pour mettre en relation les professionnels de l’animation et les professionnels flamands du monde de l’animation.

La sélection de sept films est l’un des meilleurs résultats de l’industrie audiovisuelle flamande depuis plusieurs années.

Les productions flamandes retenues pour la compétition des courts métrages d’animation sont Dji vou veu volti de Benoît Feroumont, Bully Beef de Wendy Morris, Absence d’Isabel Bouttens et Met mijn kwantorslag de Pieter Vanluffelen.

Dans la catégorie des courts métrages de fin d’étude sont inscrits Administrators de Roman Klochkov et Death’s Job de Johan Pollefoort.

BlauwBlauw de Sandy Claes (Panorama international) et Met mijn kwantorslag de Pieter Vanluffelen (Compétition officielle) font partie du projet animé baptisé Dicht/Vorm, dans lequel 15 animateurs de talent visionnent quelques poèmes modernes.

En avril, un programme spécial sera annoncé pour le Benelux, dans lequel figureront de nombreux courts métrages d’animation flamands.

>> Informations complémentaires : www.annecy.org

Compétition de courts métrages :

Dji vou veu volti de Benoît Feroumont
Bully Beef de Wendy Morris
Absence d’Isabel Bouttens
Met mijn kwantorslag de Pieter Vanluffelen

Courts métrages de fin d’études :

Administrators de Roman Klochkov
Zu stramm de Levi Tack
Death’s Job de Johan Pollefoort

jeudi 24 mai 2007

Festival du court étrage de Bruxelles


Le film était projetté pour la première fois dans le cadre de ce vraiment sympathique festival.
Je vous conseille d'aller faire un tour l'année prochaine dans une ou deux scéances de cette manifestation parce que il y a pleins de belles choses à voir.
Je vous conseille aussi d'aller boire une Chimay après une projection dans la tente qu'ils dresse chaque année sur la Place Fernand Coq. On y croise des gens sympas et des pétasses, des intellos et des bas du front, des grands et des petits, cela parle flamand, anglais, français, espagnol... . Bref une sorte de brassage des genres tout à fait réjouissante.

Dji vou veu volti a été primé!
Le prix de la Critique.
7 journalistes qui m'ont donné un chouette prix: Un sous-titrage!!! Bonne blague! Mais j'étais vachement content de recevoir ce prix.

Annecy


The film is selected in competition in the Annecy animation film festival in June.
The film is screened in the first program at the very begginning of the festival.

Je vais faire quelques planches de BD sur Annecy pour le journal Spirou. Je ne sais pas encore quelle forme cela va prendre.

A ce propos, le festival organise aussi une mise à l'honneur des films d'animations venant du Bénélux. "BZZ" mon précédent court métrage (qui date dèjà de quelques années) y est projeté.
De plus La communauté française de Belgique organise une exposition sur le thème BD et Animation en Belgique francophone. Et bin comme je fait de l'animation et de la BD, je serai exposé. Je suis bien curieux de voir ça.

Je crois que c'est tout.